Photo : Raphael Dovelos |
"- Chante les lendemains comme sur l'Atlantique
Dans les creux pour le vent qui sera le signal
Dans cette fin du monde enfin où la musique
Passera comme l'aspirine sur le mal -"
Dans les creux pour le vent qui sera le signal
Dans cette fin du monde enfin où la musique
Passera comme l'aspirine sur le mal -"
Passionné par l'oeuvre de Léo, Raphael Dovelos a fait le voyage pour venir parler de son Léo, avec tendresse, avec bien plus que de l'enthousiasme, et cette qualité dont Jacques Higelin disait qu'elle est la marque des grands, la simplicité. Première partie de l'entretien, au cours de laquelle il nous parle de son activité sur les réseaux, et raconte comment Léo est arrivé dans sa tête et dans sa vie, et s'y est installé.
Grand merci à Raphael pour sa visite, son rire partageux et sa gentillesse, au micro et surtout dans la vie.
Avec : Le mal - L'étrangère (19 mars 1959, accordéon : Jean Cardon) - Je te donne - L'Opéra du Pauvre (air de Miseria) - Têtes de Bois, Gli anarchici
Pour réécouter Le Ferré Club (n° 82) Rencontre avec Raphael Dovelos (1ère partie), c'est ici !
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Suite de cet entretien la semaine prochaine.