Le Ferré Club (n° 352) Ça tape ça crie ça tousse (+ "Benoît Misère" 1ère partie) - 19 février 2025

Petit évènement durant ce mois de février, avec la diffusion de "Benoît Misère", créé, mis en musique et interprété par Luc Baba et Hélène Weissenbacher. Un enregistrement réalisé en marge du spectacle qu'Hélène et Luc ont créé autour du livre de Léo Ferré, et qu'ils ont eu la gentillesse de confier à l'émission. Séquencé en quatre parties, un "épisode" vous sera proposé chaque semaine, avant une diffusion en intégralité lors d'une émission spéciale en fin de mois.

Et comme cet enregistrement n'est que le prolongement d'un spectacle vivant, pour magnifiquement prolonger cette écoute, Hélène et Luc donneront "Benoit Misère" le jeudi 27 février 2025 (19h) à la Bibliothèque Nationale Universitaire de Strasbourg. À ne pas louper si vous êtes dans l'Est de la France !

Au sommaire : Générique - Night and day - Comme une fille - Mon Sébasto - L'Enfance - Benoît Misère (Luc Baba et Hélène Weissenbacher, 1ère partie) - Thème 2ème mouvement du concerto pour piano Andante (intégrale Le Chemin d'enfer)

Évoqué durant l'émission : L'ami Claude Frigara a tout récemment mis en ligne un entretien-fleuve en sept parties avec Mathieu Ferré, enregistré le 1er janvier 2024 chez Mathieu. Il est écoutable sur son blog "Donne-moi de mes nouvelles". --- Le skipper Romain Attanasio, engagé sur une frégate renommée, s'est filmé au milieu de l'océan en train d'écouter et de fredonner la chanson de Léo "C'est extra". --- Merci Christian Décamps !

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Le Ferré Club (n° 351) by SCL "Monsieur Barclay" - 29 janvier 2025

"- Avec Léo, nous avons tissé un lien amical, sans jamais vraiment nous connaître intimement. Mais nous nous sommes reconnus à travers notre estime mutuelle. Dans « Monsieur Barclay », il a voulu se moquer de moi mais gentiment, car même s’il lançait parfois des propos catégoriques de façon instinctive, ce n’était pas un grand méchant. Léo était un homme qui, derrière une agressivité apparente, dissimulait une très grande fragilité. Léo Ferré, c’était le talent à l’état brut, derrière son côté anarchiste, il cachait une immense générosité. Ce fut l’un de mes plus grands artistes. Merci Léo, je ne pourrais jamais t’oublier. Ton ami, Eddie Barclay -"
(Extrait de l’avant-propos du livre "Je parle pour dans dix siècles !" de Dominique Lacout et Alain Wodrascka)

Extrait du documentaire "Eddie Barclay le roi du showbiz" (Arte, 16 mai 2015) - Remix Générique du Ferré Club et extrait de « Toi de l’autre côté… » - Annonce de la mort d’Eddie Barclay (JT, France 2, 13 mai 2005) - Interview de Léo Ferré (à la suite de celle de Pierre Bouteiller au Théâtre des Champs-Elysées en 1984) - Jolie môme - Interview de Léo Ferré - Monsieur Barclay - Art poétique (poème de Paul Verlaine) - Les Poètes de sept ans (poème d’Arthur Rimbaud) - Interview de Léo Ferré - Paname - Mon général - Interview de Michel Lancelot (Europe n° 1, octobre 1969) - Extrait de l'émission « Avec le temps – Une nuit avec Léo Ferré » (France Culture, 1er janvier 1988) - À une chanteuse morte - Extrait de l'émission "Les dossiers de l’écran" (sur le thème Comment fabrique-t-on une vedette ? Antenne 2, 5 décembre 1977) - L’Idole - Extrait de l'émission "Les dossiers de l’écran" - C’est extra - Extrait de l'émission "Les dossiers de l’écran" - La Solitude - Le Chien - Extrait de l'émission « Avec le temps – Une nuit avec Léo Ferré » (France Culture, 1er janvier 1988) - Richard - Extrait d'une interview d’Eddie Barclay dans l'émission "L’oreille en coin" (France Inter, 22 décembre 1989) - Spleen (poème de Charles Baudelaire) - Interview de Léo Ferré - Extrait de « Toi de l’autre côté… » de Chris Musics

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[Archive] Pour Léo (22 août 2016)

Ce texte a été écrit en 2016, à l'occasion de la Nuit Noire spéciale pour les cent ans de Léo. Datant d'avant l'existence de l'émission Le Ferré Club, je le republie aujourd'hui, bien que son édition originale soit toujours disponible.

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Qu'est-ce que tu fous là, Léo ? A trainer tes jactances endiablées au coeur d'une nuit comme tant d'autres... Qu'est ce que tu fous là, dis... dans ma vie, trente berges dans les flancs plus tard ? Hein ? Tu devrais être rangé dans le tiroir à souvenirs, à la rubrique ringard, là où la modernité voudrait ranger nos formules d'anar, à la rubrique oubli... Léo !

"Rappelle-toi, rappelle-toi..."

C'était une époque chancelante, où les murs allaient tomber les uns après les autres. Un soir, je croise mon père qui rentre avant de repartir. Il sort de son sac un double album CD, ce nouveau support qui fait fureur, un coffret épais, noir et bleu, qu'il me tend. "Tiens, j'ai acheté ce disque, mais je l'ai écouté, ça ne m'intéresse pas, ce n'est pas ce que je cherchais". Je le prends. Je regarde de quoi il s'agit. Ah ? Léo Ferré ? Très bien... De nom évidemment... J'en lis les titres... Alléchant ! "Tu es sûr, papa, tu es sûr que... "Oui, je voulais écouter ses vieilles chansons, mais tout ça là... Si ça peut te plaire..." Et voilà comment un père, un fan de Ferrat, un militant communiste, tend le bâton pour se faire battre.

J'écoute donc ce Léo Ferré... Je ne l'écoute pas... Je plonge dedans, et n'en ressortirai plus. Mémoires d'un amour, cris de paix d'une guerre sans fin, caresses sur le pavé, coïts testamentaires, chevauchées déroutantes, l'informulé mis en musique... D'une chanson à l'autre, il trouve les mots pour régler des comptes que je n'ose encore tenir. Ils ont votés... Bien cons ! La vie moderne... Tu parles ! Y en a marre... Je veux ! Les anarchistes... Qui ça ?

C'est la plus belle rencontre que je vais faire grâce à Léo, l'anarchie. Pour tout dire, il y a un moment que cette idée me titille, qu'elle s'immisce, encore diffuse, comme une réponse à toutes mes maladies infantiles. Je ne sais trop la dire. Mais, en "me" parlant d'insoumission, de refus, de poing levé, d'amour bien sûr, d'irrévérence, de solitude, de la misère aussi, en y mêlant les poètes, et Ludwig, Léo Ferré va mettre des mots sur ce qui gronde en moi. Et pour chacun de ces moments qui nous extirpent de l'innocente insouciance, dans tout ce qu'il y a de beau et de terrible à cela... L'amour et ses fièvres... Les idées et leur contraire... La société et ses monnaies... Puisqu'en tout chose, la frontière entre espoir et désespoir est infime... Pour rendre cela supportable, Ferré va "me" proposer l'anarchie.

Et les anarchistes... Lorsque je fais écouter celui dont je partage la lucidité à ma société bidon à moi, elle se marre, ma société bidon à moi. Normal. Déjà, elle est la société. Bidon. Ensuite, il faut dire qu'elle a quinze ans, seize ans à peine, et qu'elle veut du Cure, du Madonna, du breakbeat. Pas de ce Don Quichotte au drapeau noir que l'on croirait debout sur la dernière barricade de 68 ! Ah... Il y en a pourtant un qui a reconnu cette voix, et qui me rejoint - ou l'inverse. Et nous l'écoutons. Et comme nous ne serons pas trop de deux pour tout comprendre, nous l'écouterons encore, longtemps. Nous irons même jusqu'à aller l'écouter pour de bon, à ses concerts (à cinq reprises tout de même, malgré nos ages... ou le sien). Voilà une autre belle rencontre par l'intermédiaire de Léo, cet ami anarchiste.

Viendra Miss Night... Forcément... Ni dieu ni maitre, premier coup de poing. Et basta dans la carlingue, à nous driver vers la mer, comme il se doit. L'oppression comme une messe, apprise et oubliée aussitôt. Night and day, indeed sir ! Monsieur Richard n'avait pas de monnaie, le café est resté dans la machine. L'amour fou, elle m'a pris et ne m'a pas rendu. Le chien décollierisé, qui grogne, qui grogne. Paname en générique, matins d'espoir - parfois. Muss es sein, cela devait-il être, cela fut. Merde à Vauban, et à tant d'autres. Faites l'amour et un paquet d'autres chansons très politiques. Les amants tristes, bien vrai hein, "c'est toujours tristes les amants". La solitude sur Radio Libertaire, ce n'est plus vraiment la solitude, parait-il. Words words words disait-il, et nous, on répétait sans faille. Et c'était ça, la méthode...

On pourrait en refiler jusqu'en l'an 10.000 ! On va plutôt se taire, et le laisser nous dire, encore un peu, toujours. Mercredi, cela fera cent ans que vous êtes né, Léo. La Nuit qui vient pourrait être une partie de l'impossible hommage que nous voudrions vous rendre. Merci, Ferré !


Davou, pour Nuit Noire (22 août 2016)

Le Ferré Club (n° 350) Pour Jean-Michel Defaye - 22 janvier 2025

"- Jean-Michel Defaye met son nom dans une harmonie,
dans une modulation. Merci, Jean-Michel, arrange-toi
pour que tout s’arrange au mieux pour toi, dans ta vie
d’artiste... car j’oubliais de dire que tu es, avant tout,
un artiste
.-"

Léo Ferré, Programme de l’Alhambra, mars 1961
(in Les Chants de la fureur)


Jean-Michel Defaye, orchestrateur des chansons de Léo durant une grande partie de ses années Barclay, est mort le 1er janvier. Cette émission lui rend hommage.

Au sommaire : Générique - Extrait de l'émission "RTL non stop" avec Philippe Bouvard (RTL, date non déterminée) - Plus jamais - Jean-Michel Defaye, Magma (de la Marseillaise à l'Internationale) - Jean-Michel Defaye, Alla Turca (d'après Wolfgang Amadeus Mozart) - Il n'aurait fallu (poème de Louis Aragon) - L'Âge d'or (version 1960 orchestrale**) - Extrait de l'émission "Étonnez-moi Benoît" avec Benoît Duteurtre (France Musique, 19 avril 2014) - La Servante au grand coeur (poème de Charles Baudelaire) - Jean-Michel Defaye, Guitare-tango - La "The Nana" (version alternative instrumentale) - Jacques Mauger et Jean-Michel Defaye, A la manière de Bach - Jean-Michel Defaye, Musique pour timbales - Jean-Michel Defaye, Thé dansant - Je vous vois encor (poème de Paul Verlaine) - Les Anarchistes

Pour prolonger l'écoute : Bel hommage rendu par Alaric Perrolier sur le site leo-ferre.com. --- Les ordinateurs du ministère de la culture y sont également allés de leur petit hommage. --- Intégralité de l'entretien lors de l'émission "Étonnez-moi Benoît" avec le tout récemment disparu Benoît Duteurtre, initialement diffusé le 19 avril 2014 sur France Musique. --- Sur la fiche de Jean-Michel Defaye sur le e-musée de la SACEM, on peut voir les déclarations de quatre chansons orchestrées pour Léo : Avec le temps, Paris je ne t'aime plus, C'est extra, L'Albatros.

Nota Bene : il est hautement légitime d'être surpris par l'absence des chansons "Spleen" et "Les Poètes de sept ans" dans cette programmation. Ces chansons figurant au programme de la prochaine émission, le choix a été fait de ne pas les diffuser aujourd'hui, pour éviter la redondance. --- Photo extraite du livre "Barclay Une histoire de haute-fidélité 1945-1984" (Riveneuve éditions) de Thérèse Chasseguet (via SCL) --- ** Erratum [26 janvier 2025] : Sans vraiment réfléchir, j'ai attribué à Jean-Michel Defaye cette version orchestrale de L'Âge d'or, or Alaric Perrolier m'indique que si l'identité de l'orchestrateur de cette version n'est indubitablement établie, son travail lui suggère qu'il s'agit plutôt de Paul Mauriat. Confusion résultant d'une sorte de DKdanse.

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Le Ferré Club (n° 349) Intégrale Vol.5 "Le Chemin d'enfer" Entretien avec Alaric Perrolier (2nde partie) - 15 janvier 2025

Dernier tome de l'intégrale Léo Ferré que font paraître les éditions La Mémoire Et La Mer, le coffret "Le Chemin d'enfer" rassemble principalement des documents de travail, pour une grande majorité d'entre eux restés jusqu'à ce jour inédits. Un trésor merveilleux pour les amateurs et amatrices de l'oeuvre ferréenne, et de poésie en général. A l'occasion de sa parution la semaine prochaine, l'ami Alaric Perrolier nous propose quelques repères ou certaines de ses analyses pour mieux appréhender et apprécier ce volume 5.

Dans cette seconde partie, Alaric détaille les derniers disques du coffret, qui, à l'exception du dernier, ne regroupent que des documents totalement inédits, voire même inespérés.

Avec : Dans une fosse comme un ours (IIIè partie du poème "À la Santé" de Guillaume Apollinaire) - La Vie d'artiste (version harpe) - Ta voix / ne dis rien - Claire - Maldoror (introduction vocale) - Avec le temps (interprétée lors de l'émission « Avec le temps – Une nuit avec Léo Ferré » (France Culture, 1er janvier 1988))

Un grand merci à Alaric pour l'impulsion nécessaire à mi-parcours, ainsi qu'à Mathieu Ferré et Alain Raemackers pour cet énorme et indispensable travail. -- Entretien enregistré le 11 décembre 2024. -- Durée : 55 min.

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La première partie est ici.

Le Ferré Club (n° 348) Intégrale Vol.5 "Le Chemin d'enfer" Entretien avec Alaric Perrolier (1ère partie) - 8 janvier 2025

Dernier tome de l'intégrale Léo Ferré que font paraître les éditions La Mémoire Et La Mer, le coffret "Le Chemin d'enfer" rassemble principalement des documents de travail, pour une grande majorité d'entre eux restés jsuqu'à ce jour inédits. Un trésor merveilleux pour les amateurs et amatrices de l'oeuvre ferréenne, et de poésie en général. A l'occasion de sa parution la semaine prochaine, l'ami Alaric Perrolier nous propose quelques repères ou certaines de ses analyses pour mieux appréhender et apprécier ce volume 5.

Dans cette première partie, Alaric présente ce coffret d'une manière générale, et débute la description énumérative des albums qui le composent.

Avec : L'Éternité (poème d'Arthur Rimbaud) - Si tu veux tu es neuve - À la fin les mensonges ne me font plus peur (extrait du poème Les Fiançailles de Guillaume Apollinaire) - On ne lit pas le vent (extrait de La Nuit)

Un grand merci à Alaric pour l'impulsion nécessaire à mi-parcours, ainsi qu'à Mathieu Ferré et Alain Raemackers pour cet énorme et indispensable travail. -- Entretien enregistré le 11 décembre 2024. -- Durée : 54 min.

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Seconde partie de cet entretien la semaine prochaine.

Le Ferré Club (n° 347) Perspectives 2025 - 1er janvier 2025

"Quand le soleil se lèvera" ?

Au sommaire : Générique - On s'aimera - L'Étranger (poème de Charles Baudelaire) - Chanson pour elle (en public, théâtre de l'Alhambra, novembre 1961) - À toi - Soleils couchants (poème de Paul Verlaine) - Avant de te connaître (paroles de Jean-Roger Caussimon) - Les Amoureux du Havre - La Beauté (poème de Charles Baudelaire) - Le Crachat - Alors vint le printemps (L'Opéra du Pauvre) - Tonia Matvienko, Кульбаби

Évoqué durant l'émission : Invitée de l'émission La Ballade, le 21 décembre dernier sur France Inter, Agnès Jaoui a évoqué Léo et a choisi de diffuser la chanson "On s'aimera". --- "Jailhouse pop", un savoureux conte de Noël chez Zéda, personnage de l'ami David Neau. --- L'ami David El Malek sera en concert jeudi 9 janvier 2025 (20h30) au Minotaure à Vendôme (41). David y interprètera son adaptation de "Pépée", parue sur son album Travelling, mais également "Thank you Satan". --- L'ami Jean-Baptiste Foulquier sera en concert le samedi 18 janvier (16h) au théâtre Le Passage Vers Les Etoiles, Paris, dans une formule piano/voix. Les places pas chères, c'est par ici. --- Le groupe Orly jouera son spectacle "L'Espoir... Orly chante Léo Ferré" le vendredi 31 janvier 2025 (20h30) à la salle des fêtes de L'Isle-Jourdain (86). --- Les amis Luc Baba et Hélène Weissenbacher donneront leur spectacle "Benoit Misère" le jeudi 27 février 2025 (19h) à la bibliothèque nationale universitaire de Strasbourg. À ne pas louper !

Illustration : Mountain doux.

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Le Ferré Club (n° 346) "L'Espoir" cinquante ans / avec Alaric Perrolier - 25 décembre 2024

Après Il n'y a plus rien l'an dernier, Le Ferré Club vous propose de finir l'année 2024 en célébrant le cinquantenaire du chef-d'oeuvre de Léo paru en 1974, l'album L'Espoir, en compagnie d'Alaric Perrolier, animateur du site officiel des éditions La Mémoire et la Mer. Au cours d'un long entretien, il parle longuement de cet album, du moment créatif que vit Léo à cette période, du lien entre L'Espoir et son prédécesseur, des chansons qui le composent, et quelques mots sur la fin de ce qui fut pour Léo ses années Barclay.

Alaric évoque également Janine de Waleyne, choriste qui illumine L'Espoir, et l'amitié qui lia Léo à Ivry Gitlis, dont le violon chante sur la chanson Les Étrangers.

Au sommaire : Générique - Les Oiseaux du malheur - Les Souvenirs - Je t'aimais bien, tu sais... - La Damnation - Les Étrangers - L'Espoir - Les Amants tristes

Pour prolonger l'écoute :
- La fiche de l'album chez LMELM
- Léo en 1974 chez SCL

Un grand merci à Alaric pour sa fidélité, pour ce nouveau savoureux coup de main, Alaric que l'on devrait retrouver bientôt - dans dix-mille ans - pour parler de son propre travail. A suivre donc. --- Entretien enregistré le 11 décembre 2024.

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Le Ferré Club (n° 345) Zone (las de ce monde ancien) - 18 décembre 2024

Emission exceptionnelle avec la diffusion en avant-première de la mise en musique par Léo Ferré du poème "Zone" de Guillaume Apollinaire, restée jusqu'à présent inédite.

Au sommaire : Générique - L'Europe s'ennuyait - Paris - Paris (dit par Madeleine Rabereau) - Metaphysic song (paroles de Jean-Roger Caussimon) - Zone (poème de Guillaume Apollinaire - un grand merci à Mathieu Ferré pour son autorisation - document inédit, à paraitre sur le tome 5 de l'intégrale Léo Ferré "Le Chemin d'enfer" aux éditions La Mémoire et la Mer)

Évoqué durant l'émission : Lorsque, dans une longue interview, le site Harper's Bazaar lui demande la chanson qu'elle aurait aimé écrire, la chanteuse Clara Luciani répond "Ton style", la chanson de Léo, et parle de la poésie de ce dernier comme d'une "peinture abstraite" qui la "transcende". --- Soutien à l'espace Léo-Ferré de Brest, une nouvelle fois menacé de fermeture par les choix budgétaires d'un Etat qui préfère que ferment les lieux de culture et de rencontres plutôt que d'aller chercher l'argent dans les caisses du patronat. Un article qui explique en détails la situation.

Illustration : Bien vrai, non ?

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